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1.
Mali méd. (En ligne) ; 34(1): 48-52, 2019. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1265732

ABSTRACT

L'envenimation par morsure de serpent reste un problème de santé publique en Afrique. Notre travail avait pour objectif d'étudier les complications aigues de l'envenimation par morsure de serpent, ainsi que les facteurs de risque de ses complications. Méthode : Il s'agissait d'une étude rétrospective et prospective sur une période de 07 ans, qui a été réalisée dans le département d'anesthésie réanimation et des urgences du CHU-Mère enfant le « Luxembourg » de Bamako. Résultats : Durant cette période, 76 cas d'envenimations ophidiennes ont été enregistrés. L'âge moyen des patients était de 34±12 ans.La famille des vipéridés (Echis et Bitis) était la plus incriminée 84,61% des cas. Les complications hémorragiques ont été observées chez 78,94% des patients, d'autres complications (cardiovasculaire, neurologique, dermatologique, ophtalmologique…) ont été observées chez 21,05% des patients. Le principal facteur de risque de survenu de complication observé, était le retard de prise en charge (délai> 6heures) Chez 100% des patients. L'absence de la sérothérapie et ou le recours initial à un traitement traditionnel ont été des facteurs de risques de complication. La presque totalité des victimes par morsures d'Elapidés soit 89,9% (5/6 cas) sont décédées. La sérothérapie a été effectuée en urgence chez 97,4% des cas. La morbidité dans notre étude a été de 10,52% avec une mortalité à 7,8%. Conclusion : dans notre contexte, la prise en charge des envenimations par morsure de serpent reste tributaire d'une multitude de complications. Le pronostic est conditionné par l'administration précoce d'un traitement symptomatique et d'un antidote spécifique


Subject(s)
Antivenins , Mali , Rat-Bite Fever
2.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 65(05): 277-282, 2018. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1266302

ABSTRACT

Le jumeau parasite est un type de siamois chez lequel un des jumeaux est représenté par une formation rudimentaire parasitant le jumeau principal. L'incidence des siamois est estimée de 1:50.000 à 1:100.000 naissances vivantes. Les siamois sont décrits en fonction des organes conjoints ou éventuellement partagés. La classification de Spencer est la plus classique. La séparation chirurgicale -si envisagée et réalisable- relève d'une prise en charge multidisciplinaire.La séparation d'un jumeau parasite est une intervention à risque per et post-opératoire élevé, nécessitant une exploration clinique, radiologique et physiologique notamment en ce qui concerne les organes conjoints ou fusionnés. Le risque anesthésique porte particulièrement sur l'intubation difficile, l'hémorragie, la transfusion massive, les troubles métaboliques. Pour partager notre expérience et discuter les principes de prise en charge, nous rapportons un cas d'anesthésie pour la séparation d'un cas de Craniopagus parasiticus réussi avec des suites post-opératoires sans complications


Subject(s)
Anesthesia, Obstetrical , Mali , Pregnancy, Twin , Twins, Conjoined/surgery
3.
Mali méd. (En ligne) ; 30(3): 7-12, 2015.
Article in French | AIM | ID: biblio-1265691

ABSTRACT

Introduction : Les fractures embarrures constituent des affections frequentes en neurochirurgie dont la gravite est liee aux lesions intracraniennes associees. Les objectifs de ce travail sont les suivants : decrire les caracteristiques epidemiologiques des fractures embarrures du crane; determiner les etiologies; decrire les signes cliniques; degager les complications et les sequelles et evaluer la prise en charge. Patients et Methodes : il s'agissait d'une etude retrospective descriptive portant sur 72 malades de janvier a decembre 2013 dans le service de neurochirurgie du CHU Gabriel Toure. La frequence etait de 14;7% avec une forte predominance masculine (93% des cas). Les jeunes de 16-25 ans etaient les plus touches soit 38;9%. Les AVP constituaient la principale etiologie avec 59;7% des cas. Le traitement neurochirurgical a ete effectue chez 25 patients soit 34;72% et la craniectomie a os perdu etait la technique la plus utilises (64% des cas operes). L'infection de la plaie a ete la complication post operatoire dominante avec 15;3%. le taux de mortalite etait de 1;39%


Subject(s)
Case Reports , Skull Fracture, Depressed/diagnosis , Skull Fracture, Depressed/epidemiology , Skull Fracture, Depressed/therapy , Skull Fractures
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